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Casa del amor (Mary Lester n°35)
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 18 Mar 2010, 10:07    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai un avantage sur toi, Anne, je l'ai déjà lu... donc pas de suspense en ce qui me concerne sur le titre ! ni sur les motifs de cette intrusion de Mary en Vendée...

Quant au Z de la Chaize je n'en sais rien Crying or Very sad mais je crois que la plage, elle, s'appelle la plage des Demoiselles ! c'est pas sympa comme nom ? Razz

Pour le reste mes souvenirs sont quand même assez lointains. J'avais surtout été impressionné par le Gois et par le chateau fort de Noirmoutier !

J'ai passé toutes mes vacances de 1953 à 1960 à Saint-Gilles sur Vie, puis en 1962 et 1963 à Sion sur l'Océan. Noirmoutier constituait l'excursion "aventureuse" de ces vacances ! Passer le Gois entassés à 6 personnes dans une vieille 4 CV, c'était bien une aventure...
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 18 Mar 2010, 11:19    Sujet du message: Répondre en citant

Bon, juste avant de partir, j'ai trouvé ( très facilement) un truc qui ne me semble pas dénué d'intérêt :
Noirmoutier, le monastère noir, nermouster en breton....
Quand j'aurai un peu de temps, je vais partir à la recherche ( sur internet via Exalead?) de ce monastère...
Enfin, je ne sais pas si tout ça vous intéresse après tout....
Mais être documentée avant de lire le livre, je trouve cela intéressant.
Ne nous dis rien, Jean-Claude, et fais comme si tu ne l'avais pas lu....! Wink
Oui, la plage des demoiselles... dis-moi Jean-Claude....eh! eh! ou plutôt dis-nous TOUT! (Allez, je blague...)
Et cette aventure sur le Gois?
Je vais aussi partir à la découverte du fort...
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Lionel



Inscrit le: 28 Nov 2006
Messages: 818

MessagePosté le: 18 Mar 2010, 12:23    Sujet du message: Répondre en citant

Jean-Claude Colrat a écrit:
Passer le Gois entassés à 6 personnes dans une vieille 4 CV, c'était bien une aventure...


Alors je n'ai du vivre qu'une demi-aventure, puisque selon toute probabilité lorsque mes parents m'y ont emmené, nous étions 3 dans une 2 CV ? (plaisanterie arithmético-loufoque)

Je pense qu'inévitablement un jour ou l'autre la triste actualité sera évoquée à l'occasion de ce pré-fil de discussions, puisque Noirmoutier est une de ces "iles" de la côte atlantique qui sont soumises aux caprices des aléas climatiques qui viennent de ravager ces régions.

Puisque je ne saurais me contenter des rodomontades de politiciens ou des raccourcis médiatiques du JT pour essayer de me faire une opinion personnelle (à propos de la balance des risques encourus entre le gain de surfaces habitables/cultivables sur la mer et les spéculations diverses sur la capacité humaine à dompter la nature), j'ajoute comme d'habitude internet aux diverses sources d'information dont je dispose.
Non que je place cette dernière au dessus des autres, car elle est également à prendre avec des pincettes.

Comme élément de réflexion et en amateur des fameuses "zones humides" comme je l'ai déjà signalé, je vous signale ce petit outil dont je ne doute pas que votre sagacité saura mesurer la portée des conclusions qu'on peut en tirer :

http://flood.firetree.net/?ll=46.9081,-2.1396&z=6&m=0

Il vous sera facile de "jouer" avec la simulation des courbes de niveau de la mer (car naturellement cette carte ne doit pas tenir compte des endiguements).
Et on peut aussi appliquer à toute façade maritime cette simulation (en ce qui me concerne à la cote +9m je me retrouve sur l'estran .... ouf, y'a de la marge !)

Ce n'est pas une curiosité malsaine qui m'a poussé à appliquer à Noirmoutier et au passage du Gois cet outil, mais le besoin d'essayer de comprendre pourquoi "on" a choisi tout d'abord de construire cette chaussée régulièrement inondable de 4,5 km, alors que sur le plan (en deux dimensions) le pont semble une solution si logique.
Si vous faites "monter" le niveau de l'eau, vous vous apercevez en outre que ce passage débouche sur deux grandes zones dont l'altitude est nulle, alors que l'accès au pont se fait via un cordon côtier depuis St Jean de Monts.
Il suffit pourtant de confronter ces informations ("d'aujourd'hui") avec ce qu'étaient les moyens de transport et la "discrétion touristique" de l'ile entre le XVIIIéme siècle et le début du vingtième pour avoir une petite idée de ce que le "progrès" a modifié en nous comme perception des choses.
L'humilité face aux forces naturelles ne m'empêche toutefois pas d'avoir une pensée pour tous ceux dont le quotidien, le patrimoine et l'avenir se sont ainsi trouvés profondément modifiés, ainsi que pour les victimes bien entendu. Si Pierre pouvait nous donner des nouvelles de Grand-Village et alentours ?
J'espère que l'habituelle précision des descriptions de paysages brossées par Jean ne se télescopera pas avec cette actualité ! (Jean-Claude ?)

Amitiés désolées, Lionel

P.S.

Anne a fort justement précisé qu'on écrivait Gois comme un nom propre.
C'est juste parce que lorsque je saisis quelques mots dans un moteur de recherche, j'ai pris l'habitude de les écrire en minuscules et sans accents, car ceux-ci n'ont (en principe) aucune influence sur le résultat de la recherche, celle-ci comme on dit est "insensible à la casse". C'est peut-être un peu réducteur aux yeux des amoureux de notre belle langue, il parait que c'est pour éviter les erreurs de saisie (é, è, ê, e, E, É etc sont ainsi traités de la même façon).
Merci Nicolas de m'avoir signalé cet autre moteur de recherche, je ne peux m'empêcher toutefois de signaler la suggestion que celui-ci m'a renvoyé à l'occasion de cette même requête : "noirmoutier gois" :
Exalead a écrit:
Vouliez-vous dire: noirmoutier goy ?
Laughing Laughing
Je ferai juste remarquer que la société commerciale qui propose ce moteur affiche une politique complètement privative et commerciale.
C'est son droit et ce n'est pas parce que je mets fortement en doute la "neutralité" de Google que je vais faire mienne cette vision.
Par ailleurs je trouve assez cocasse cette coquille dans les "conditions d'utilisation du site", qui sont par ailleurs le modèle parfait de ce que je déplore :
Exalead a écrit:
Exalead ne distribue pas sans votre autorisation aux tiers des informations que vous avez soumis au site qui vous identifient personnellement. Si une telle divulgation devait par inadvertance se produire, Exalead utilisera des efforts raisonnables pour limiter et remédier à cette divulgation, mais ne pourra être tenu pour raisonnable.

Est-ce bien responsable ? Wink
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 18 Mar 2010, 13:51    Sujet du message: Répondre en citant

A propos des demoiselles, Anne, je ne dirai rien Wink

Pour le château, une petite anecdote. Je ne sais pas si c'est toujours le cas : il y avait un petit musée "régional" fort poussiéreux avec un guide comme on les faisait à l'époque. Parmi les collections d'objets hétéroclites, un oeuf biscornu que ledit guide nous présenta comme un oeuf de coq. Les visiteurs de s'exclaffer. J'avais 5/6 ans à l'époque et je me suis longtemps demandé pourquoi un coq ne pondait pas d'oeuf ! Embarassed

Au fait, si l'on doit continuer nos élucubrations sur Noirmoutier (au demeurant passionnantes, merci comme toujours à Lionel pour ses liens et infos), est-ce qu'il ne serait pas bon que Nicola fasse migrer cette partie du post vers "les lieux"? sinon on risque d'atteindre une douzaine de pages avant d'entamer la véritable discussion sur le roman après parution?
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Lionel



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MessagePosté le: 18 Mar 2010, 14:14    Sujet du message: Répondre en citant

Dans la mesure où le titre du prochain opus ne figure pas encore dans celui du fil de discussions, je pense que rien ne presse ... tant que la parution n'est pas effective ?
Il sera alors temps pour Nicolas Embarassed en quelques "clics" de mettre un peu d'ordre dans tout ça Laughing (y compris de virer nos remarques si besoin est).
Faire un "topic" sur Noirmoutier ex nihilo serait amha tout aussi incongru ... pour l'instant Question
Ce n'est qu'un avis.

J'espère vivement en tout cas que ce n'est pas ce genre de "petits débordements" entre fans qui a obéré à ce point les commentaires des participants plus ... occasionnels sur les derniers épisodes ?

Amitiés débordantes, Lionel
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alain grandil



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MessagePosté le: 19 Mar 2010, 10:38    Sujet du message: Répondre en citant

Pour faire suite à la proposition d'Anne et pour patienter en attendant de lire le livre, voici deux vues du passage du Gois à Noirmoutier. Deux vues d'inspirations différentes...
Bonne journée à tous,
Alain



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Anne Boëlle



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MessagePosté le: 19 Mar 2010, 20:59    Sujet du message: Répondre en citant

Super et superbes! Merci Alain!
A propos, cher Jean-Claude, tes demoiselles étaient des dames, je te signale.... ( mais je ne dirais rien ....). Cool
Et la Chaize à retrouvé son "s". Un géographe prude et ...puriste (pour l'orthographe) à l'IGN?
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alain grandil



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MessagePosté le: 19 Mar 2010, 22:05    Sujet du message: Répondre en citant

...Des dames, oui, sans doute après avoir franchi le passage du Gois !
Voila un passage qui semblait en quelque sorte obligé pour les demoiselles ! Je me demande jusqu'à quel point certains n'ont pas fait exprès de tomber en panne pour passer un bon moment dans l'un de ces îlots avec celle qu'ils convoitaient.
Et aujourd'hui, en quête d'exotisme, y en a-t-il encore pour aller rechercher dans ces mystérieux abris une aventure hors du commun, un moment fort entre terre et mer, même si le hors-bord est amarré tout près ? Affaire à suivre...
Je vous joins deux anciennes cartes postales assez suggestives quant aux fantasmes Noirmoutiérains ! Very Happy



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Lionel



Inscrit le: 28 Nov 2006
Messages: 818

MessagePosté le: 19 Mar 2010, 22:54    Sujet du message: Répondre en citant

Anne Boëlle a écrit:
Jean-Claude, te souviens-tu de cette plage? Et pourquoi la Chaize avec un "z", d'abord?


Plusieurs communes de Vendée incluent cette orthographe dans leur nom composé et ce nom apparait également souvent ainsi écrit dans diverses références héraldiques.
C'est donc dans cette direction que je chercherais l'explication.

Mais pour l'instant ... chou blanc ! (mais là ça vient d'une expression berrichonne, aucun rapport !)

La lumière de la photo du Gois postée par Alain est tout-à-fait ... angoissante, bravo !
Sûr qu'on n'aurait pas envie de tenter l'aventure de la traversée !

Amitiés boisées, Lionel

P.S. j'ai peut-être trouvé ?

Au XVème siècle l'ile était rattachée à la vicomté de Thouars, laquelle a donné également son nom à la Chaize-le-Vicomte.

Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_Noirmoutier
et
http://www.lachaizelevicomte.fr/gaba2.php

Au nom de l'arbouse et du mimosa, est-ce une simple coïncidence ?
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alain grandil



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MessagePosté le: 20 Mar 2010, 15:48    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Nicolas et Lionel pour vos conseils que je m'empresse de mettre en application :

Lionel a écrit:
La lumière de la photo du Gois postée par Alain est tout-à-fait ... angoissante, bravo !
Sûr qu'on n'aurait pas envie de tenter l'aventure de la traversée !


Angoissante en effet, Lionel ! Et que dire de la première immage de la bande dessinée de Maurice Tillieux "La voiture immergée" dont je vous ai souvent parlé sur ce fil de discussion ? Nous voici en présence du "Pas du Malin", certainement inspiré du passage du Gois, mais long de 8 kms et dépourvu de tout abri. Brrr ! Confused
Ca ne donne pas envie d'aller y faire un tour, et dans cette affaire, un antiquaire y perdra la vie et deux voitures seront emportées par les flots : une Facel Véga et la Dauphine de Gil Jourdan.
En attendant de découvrir "Casa del Amor", cette excellente BD pourrait bien vous mettre un temps soi peu dans l'ambiance (?) Mais Jean nous a certainement concocté une histoire qui ne manquera pas de nous étonner une fois de plus ! Wink



Bon week-end à tous,
Alain
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Jean Failler



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MessagePosté le: 21 Mar 2010, 00:49    Sujet du message: À propos du Gois… Répondre en citant

D'après un savant ouvrage qui m'a été offert par la dame à qui je dois ma documentation sur Noirmoutier, les premières traces du nom Gois (Goy) paraissent dans un document d'archive datant de 1577 :
"…une garenne près de la Fosse : la parée du peu au Goy, tenant d'une part à la garenne de Monseigneur et d'autre à (un) chemin qui conduit de la Frandière à la Fosse…"
Mon amie Noirmoutine m'a fait remarquer qu'en patois local "goiser" signifie se mouiller les pieds en marchant dans l'eau.
Les savants eux, notent que le nom viendrait du bas-latin "guazzare" qui signifierait passer à gué.
Il paraît donc que l'explication la plus vraisemblable est que le mot Gois est une déformation patoisée de gué.
Voilà, je ne me mouillerai pas davantage.
Bien à tous,
J. Failler
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alain grandil



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MessagePosté le: 21 Mar 2010, 23:27    Sujet du message: Répondre en citant

Voila qui est très intéressant, Jean, mais comme tu dis, inutile de se mouiller davantage. Après tout, se mouiller les pieds en marchant dans l'eau, et franchir un gué doit conduire à la même peine. Peine de pieds... mouillés, bien sûr.
Ce qui semble certain, c'est qu'une fois de plus tu te sois drôlement documenté pour ce nouveau "Mary Lester" ! Qui peut le plus peut le moins, évidemment mais... j'en suis sûr, tes travaux d'écriture ont fait appel, comme toujours, à ta belle créativité. Noirmoutier ne doit pas être beaucoup plus facile à décrire que l'Australie !
J'imagine que cela n'a jamais été simple. Je suis persuadé qu'un gros travail a été nécessaire pour l'écriture de ce roman.
Dès le voile levé sur celui-ci, je n'ai pu m'empêcher de faire le rapprochement avec l'histoire de M. Tillieux, "La voiture immergée". Mais, je l'ai déjà dit, tu sauras nous étonner avec cette histoire !
"Casa del amor", qui songerait à s'en plaindre ?
Alain
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
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MessagePosté le: 22 Mar 2010, 10:11    Sujet du message: Répondre en citant

A propos de se mouiller les pieds sur le Gois, une photo d'août 1962 (avec des scouts toujours prêts !) :


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alain grandil



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MessagePosté le: 22 Mar 2010, 14:22    Sujet du message: Répondre en citant

Excellent, Jean-Claude ! Et quel sens de l'à-propos !
Cette photo est remarquable et fort bien cadrée. La petite troupe des scouts (toujours), qui ne craint pas de se mouiller les pieds met bien en valeur un inébranlable volontarisme que le personnage principal se met en devoir d'appliquer lui aussi, mais en sens inverse.
Le photographe a été ce jour d'aoüt 1962 on ne peut mieux inspiré !
J'imagine que le gamin c'est toi et que derrière l'objectif se tenait ton papa, l'homme à la vaillante 4cv ?
Merci en tout cas pour ce superbe cliché !
Alain
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 22 Mar 2010, 22:47    Sujet du message: Répondre en citant

alain grandil a écrit:
... un inébranlable volontarisme que le personnage principal se met en devoir d'appliquer lui aussi, mais en sens inverse...

Bien vu, Alain! Car derrière une gentillesse et une serviabilité sans limites, je devine un caractère... hum...déterminé, voire entêté! Wink
Digne d'être breton, quoi!
Ah! oui, elle est marrante cette photo...
Il ne manque plus qu'un pied de nez (amical) aux scouts.
(J'ai fait tous les grades de jeannettes et guides....hélas... Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad )
Et quand je me baladais en "compagnie", je rêvais d'être à la place de ces promeneurs libres de se balader où ils voulaient, sur le bords des plages. Nous, on était comme en prison. Et même par 40° à l'ombre, on n'avait pas le droit de se baigner....
Bon, j'arrête de .....dégoiser...(!) hors sujet...
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