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Les amis de Mary Lester

 
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Parmi les amis de Mary Lester, qui préférez-vous ?
JiPi (Jean-Pierre Fortin)
62%
 62%  [ 5 ]
Le Commissaire Fabien
25%
 25%  [ 2 ]
La voisine de Mary Lester
0%
 0%  [ 0 ]
Lillian
12%
 12%  [ 1 ]
Total des votes : 8

Auteur Message
Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 15 Sep 2005, 12:38    Sujet du message: Les amis de Mary Lester Répondre en citant

Depuis le début de la collection, Mary Lester s'est fait des ennemis, mais aussi beaucoup d'amis.
Mais parmi tous ces personnages qui réapparaissent plus ou moins fréquemment, lequel préférez-vous ?

Vous pouvez évidemment préciser pourquoi Wink
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Siberiane
Invité





MessagePosté le: 13 Nov 2005, 16:03    Sujet du message: Répondre en citant

J' aime bien Jipé, il est toujours la pour aider Mary Lester au bessoin, j' aime bien ca facon de parler, il est en totalle harmonie avec M.L.

Par contre je regrette que le perso de Lilian soit pas beauocup present, on sait pas grand chose sur la vie privée de M.L ...
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 15 Nov 2005, 09:58    Sujet du message: Répondre en citant

Je pense que l'auteur ne préfère pas en parler, en partie à cause des remarques qu'il avait eut quand à la fin de Boucaille sur Douarnenez (6) Mary se rendait à l'hôtel avec un homme.

Mais j'aimerais bien moi aussi qu'on en sache plus sur Lillian, et que Mary Lester évolue sur le point de vue privée (par exemple qu'elle vive en couple avec Lillian...)
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Riego
Invité





MessagePosté le: 24 Jan 2006, 01:35    Sujet du message: Vie privée Répondre en citant

Je ne partage pas l'avis de Siberiane : pas de voyeurisme pour moi ! Des allusions suffisent. Et encore... je n'aime pas ce Rimbermin de malheur. JE SUIS JALOUX COMME UN TIGRE !
N.B. : En fait, je ne sais pas si les tigres sont jaloux ou non. Laughing
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 06 Fév 2006, 23:56    Sujet du message: Répondre en citant

Pas besoin de voyeurisme, mais juste découvrir un peu plus Mary Lester dans la vie de tous les jours.
Pour prendre un exemple, on découvre bien la vie privée de Julie Lescaut dans la série de TF1 sans pour autant faire du voyeurisme. Alors pourquoi pas quelque chose du même genre pour Mary Lester ?

Mais le fait de faire que Mary vive en couple etc... apporterait de très gros changements à la collection. Ce ne serait pas une mauvaise chose, mais il faudrait vraiment bien faire ça.
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Riego



Inscrit le: 15 Fév 2006
Messages: 115
Localisation: Nantes

MessagePosté le: 12 Mar 2006, 22:14    Sujet du message: Répondre en citant

Oui... Jean Failler pourrait même envisager une saga familiale...en 2050, Mary entourée de ses petits enfants enquêtant sur la disparition du dernier anatife... Bon, là je déconne. Honte à moi.
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pierre17



Inscrit le: 20 Oct 2008
Messages: 83
Localisation: une île en Charente

MessagePosté le: 30 Oct 2008, 22:09    Sujet du message: Répondre en citant

Dans un des romans , Mary avoue qu"elle n"aimerait pas s'encombrer d'un mari ni de gosses et préfère garder son indépendance ... Je serai tenté de penser que c'est parce que elle n'a pas encore rencotré l'âme soeur ... Ce Lilian apparaît bien fade et insipide en face de la riche personnalité de Mary ; d'ailleurs , je me trompe pitêtre mais je trouve que les méchants ont une forte personnalité alors que les gentils sont beaucoup plus transparents .

Alors ML amoureuse d"un délinquant multirécidiviste qui lui fera cinq enfants ?

C"est décidé , le reste de la bouteille de lambic ira dans le lave glace , les effets secondaires sont redoutables ...
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 31 Oct 2008, 22:13    Sujet du message: Répondre en citant

On ne sait jamais... si c'est Jean Failler qui fini le lambic...hic!
Mais à travers ce qu'il écrit, je ne crois pas que ce soit "sa tasse de thé".
Il y a des "gentils" qui ont une personnalité intéressante. Je pense à Boulois dans le n°3, au père Kéruz dans le n°5, à Abel Zeimer ( fallait oser..) ou à Leamond de La Rivière.
Le père Pinchard dans le 29 n'est pas mal non plus.
Dans je ne sais plus quel livre, il y a un avocat bègue.
Ce sont ceux qui me viennent à l'esprit mais il y en a d'autres.
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
Messages: 892
Localisation: entre Metz et Luxembourg

MessagePosté le: 01 Nov 2008, 22:41    Sujet du message: réponse Répondre en citant

Dans la collection des "Mary Lester", je pense que ça se passe un peu comme dans la vie : les amis tout comme les gentils sont plus rares que les autres. Il y a parmi les premiers cités, les fidèles comme Jipi, le commissaire Fabien ou Amandine Trépon. Il y a aussi les secondaires qui n'apparaissent qu'une fois ou deux dans la saga. Je pense moi aussi, comme toi, Anne, au père Boulois dont l'humanité nous a tous bouleversé. Il y a eu aussi le père Berrou, dans "une histoire d'amour". D'autres encore, comme Passepoil au niveau des collègues ou certains personnages apparus dans un roman en particulier, et dont les noms m'échappent. L'avocat bègue en fait partie... Par contre, ni Leamond De La Rivière où Abel Zeimer ne m'ont laissé un bon souvenir ! Crying or Very sad
En fait, dans la série, on a plutôt à faire à des tordus, des méchants et autres crapules de tous poils : il n'y a qu'à bien y regarder dans le dernier "sans verser de larmes" pour s'apercevoir que tout commence avec de tristes sires qui battent femme et enfants. Après des empoisonneurs et emmerdeurs de première comme l'était Vanco dans "Souliko'o", force est de constater que dans la vie, comme chez les amis de Mary, l'on a plus vite fait, par les temps qui courrent, de se faire des ennemis lourds comme des boulets de plomb plutôt que de rencontrer des gens d'agréables compagnie et complexion.
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 01 Nov 2008, 23:23    Sujet du message: Répondre en citant

Mais pour les gens d'agréable compagnie nous avons heureusement notre forum...

Parmi les personnages qui ont traversé un roman avec une grosse dose d'émotion je me souviens aussi de la veuve Cadou et de Bertrand du Lédanou dans Les gens de la rivière...

Et parmi les fortes personnalités comment oublier Annette Bonnetis dans Mort d'une d'une rombière ?
_________________
amicalement à toutes et à tous. JCC
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 01 Nov 2008, 23:35    Sujet du message: Re: réponse Répondre en citant

J'ai été un peu rapide à répondre. C'est vrai que comme gentil, Léamond de La Rivière, il y a mieux. Je voulais en fait parler de ceux qui n'avaient assassiner personne. Gentil n'était pas le bon mot...
Pour les personnages des romans, je n'en suis, dans mes relectures, qu'au n°7, l'homme aux doigts bleus. Donc pour le moment, il y en a plein d'autres dont je n'ai plus qu'un vague souvenir.
Maintenant, qu'on ait affaire à des tordus de tout poil, c'est normal dans un roman policier.

alain grandil a écrit:
dans la vie, comme chez les amis de Mary, l'on a plus vite fait, par les temps qui courrent, de se faire des ennemis lourds comme des boulets de plomb plutôt que de rencontrer des gens d'agréables compagnie et complexion.

Par les temps qui ont courru, qui courrent et qui courront... l'humanité n'est pas prête de changer.
Pourtant, je ne partage pas totalement ta vision un peu pessimiste du genre humain. Peut-être parce que j'ai une vie assez pépère... enfin jusqu'ici.
Il y a cepandant des gens qui ont connu bien pire, le pire pourrait-on dire, et qui ont transmis de fabuleux messages d'espoir.
Je me permets d'en citer un : Hélie de Saint Marc qui a fait la deuxième guerre mondiale, a été déporté à Buchewald, a été en Indochine, puis en Algérie...et qui avait donc toutes les raisons de désepérer de l'homme.
Voici un extrait :
J'ai connu, dans un grand désordre, l'amour et l'aventure, la souffrance et l'humiliation, la liberté et l'enfermement, la guerre et la paix, la révolte et la tragédie...J'ai soixante treize ans. Mon futur se compte sur les doigts d'une main, peut-être de deux...La perpective de fin ne rétrécit pas l'existence...Tant de choses passent comme le vent, la vanité de nos efforts paraît telle qu'il ne faut jamais s'arrêter de planter, de bâtir, de travailler, de souffrir, d'espérer et d'aimer.

Mais voilà qui nous emmène bien loin de notre Mary Lester, qui elle aussi garde toujours le moral!
Et comme dit Jean-Claude, pour les gens d'agréable compagnie, on a déjà ce forum!
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
Messages: 892
Localisation: entre Metz et Luxembourg

MessagePosté le: 02 Nov 2008, 17:45    Sujet du message: Répondre en citant

Il est vrai que dans la vie, comme dans les romans d'ailleurs, on découvre aussi des gens merveilleux. il y a certainement une loi qui veut que quelle que soit l'époque ou le lieu, les personnes que l'on y rencontre se répartissent en catégories distinctes, dans des proportions identiques ou presque.
C'est ainsi que l'on fera connaissance avec des héros désintéressés et des bandits cupides, des poëtes placides et des agitateurs acerbes.
Et entre tous ces extrêmes, nous aurons droit à une infinie variété de grisaille... L'important n'est-il pas de découvrir dans cette grisaille une lueur colorée, de loin en loin ?
Je ne suis pas spécialement pessimiste et suis quant à moi plutôt d'accord avec toi. Le genre humain n'est effectivement pas prêt de changer, et je pense que dans la vie, on peut faire de bonnes comme de mauvaises rencontres. Disons que j'incline à penser qu'il est plus aisé d'en faire de mauvaises. Cela n'exclut bien sûr, ni l'espoir, ni l'amour.
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