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La mort au bord de l'étang (3)
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Auteur Message
Lionel



Inscrit le: 28 Nov 2006
Messages: 818

MessagePosté le: 11 Fév 2007, 18:58    Sujet du message: Répondre en citant

Le respect de la procédure n'est pas la mansuétude.
Ce n'était pas l'essentiel dans le roman, on ne va pas se chicorer pour ça Wink
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
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MessagePosté le: 11 Fév 2007, 21:21    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai, j'y ai été un peu fort, surtout avec les coups d'annuaires ! Désolé... Mais bon, c'est sûr qu'on ne va pas mettre la grole entre nous pour ce qui reste tout de même une fiction. N'oublions pas non plus qu'il s'agissait du troisième roman de Jean Failler dans la série des Mary Lester. J'ai trouvé cette enquête très bien menée et c'est toujours pour moi l'une des meilleures de la série. La procédure est une chose, bien entendu, même si dans la réalité elle n'est pas forcément toujours appliquée de façon biblique. Alors dans le genre romanesque, je pense qu'on peut se laisser aller à prendre son pied à voir un coupable puni de façon magistrale, même si ce n'est pas très moral ou conforme à une éthique ou à un code de déontologie quel qu'il soit. C'était le cas pour cette histoire dans laquelle, ne l'oublions pas, le meurtrier était particulièrement malfaisant, calculateur, impitoyable, et se prévalait en plus d'une sorte d'impunité due à son rang. Au final, c'est aussi inadmissible qu'un léger vice de procédure. Enfin, je vois ça comme ça. Wink
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Lionel



Inscrit le: 28 Nov 2006
Messages: 818

MessagePosté le: 12 Fév 2007, 12:17    Sujet du message: Répondre en citant

Il suffit de s'être trouvé une seule fois dans une situation que tu décrivais dans une de tes précédents messages
Citation:
Un flic, même parmi les moins futés, saura toujours vous mettre dans l'embarras et bien souvent vous faire plonger, vous faisant réaliser soit votre faiblesse, soit votre culpabilité. Dans les deux cas, vous ne vous en sortirez pas indemne
.
pour ne plus jamais laisser passer ça.

Mais cette précision sur un mal vécu personnel ne vient pas ici pour relancer la discussion, je suis par ailleurs tout-à fait d'accord avec toi, Alain : la fiction permet de s'affranchir de quelques "détails dans l'histoire" pour clore le chapitre de happy & satisfactory end.
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 24 Fév 2007, 01:36    Sujet du message: Répondre en citant

alain grandil a écrit:
D'accord, et c'est bien que l'auteur se soit entouré des conseillers qui lui faisaient défaut lors de ses premiers romans.

Je ne crois pas que ce soient pour autant des conseillers.
Mais il m'a raconté une fois avoir reçu un courrier d'un lecteur qui disait un truc du genre "pour avoir déjà fait de la prison et connaître un peu le milieu du banditisme, je peux vous dire que le détail X n'est pas réaliste".
Jean Failler prend donc ces remarques en compte pour ne pas non plus que ses enquêtes paraissent totalement excentriques.

Mais ça ne l'oblige pas pour autant à transformer les enquêtes en reportages sur la police Very Happy
alain grandil a écrit:
J'avais déjà parlé de la violente attitude de Mary Lester au début des commentaires concernant le dénouement de cette enquête avec la garde à vue du présumé coupable.

En même temps, pour ceux qui connaissent la série télé "24", Mary Lester est encore un ange comparé à Jack Bauer Laughing
alain grandil a écrit:
Mais pour ma part, je ne voudrais pas à la lecture des futures aventures de notre héroïne avoir entre les mains une histoire trop prévisible et inévitablement cadrée dans les stricts cadres de la loi, du code pénal, de la déontologie policière et de l'éthique bien pensante du lecteur moyen.

Il n'y a qu'à voir comment elle arrête cette jeune fille qui ne veut rien entendre et profite du pouvoir de son père dans Couleur Canari (21) pour se rendre compte que Mary reste spontanée Very Happy
Mais il n'en reste pas moins que si on tolère évidemment ces méthodes dans un roman ou un film, on ne le ferait pas dans la réalité (si dans la réalité, un flic se comportait avec moi comme Mary se comporte avec certains personnages, c'est sûr que je ne le tolérerais pas). Et c'est bien là tout l'intérêt de la littérature et de l'imaginaire.
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
Messages: 892
Localisation: entre Metz et Luxembourg

MessagePosté le: 25 Fév 2007, 21:03    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir à tous ! J'étais en vacances en Isère toute la semaine passée et, me croirez vous, j'ai lu la moitié d'un Mary Lester (Rien qu'une histoire d'amour) avant mon retour. En fait, cette lecture elle-même était un retour aux sources, puisque j'avais déjà lu cette enquête - la 26ème- il y a déjà plus d'un an. Eh bien, le plaisir est toujours là : une redécouverte en forme de découverte pour un roman que je considère comme l'un des meilleurs de la série ! Ca, je vous l'ai sans doute déjà dit et peut-être expliqué, mais je ne manquerais pas de revenir là-dessus très bientôt !
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt ton message, Nicolas, et je m'aperçois que j'y ai été beaucoup cité... Smile En fait, j'avais déjà compris que Jean Failler, même s'il ne s'entourait pas vraiment de conseillers, ne manquait pas d'être attentif aux remarques qu'on lui faisait ici ou là, au détour d'une lecture suivie d'un avis pertinent. C'est ainsi que l'on progresse, et l'auteur a l'intelligence de l'humilité (ou inversement). Dans les deux cas, c'est tout à son honneur et propre à soigner son image comme celle de son héroïne. La fiction, bien évidemment fait largement appel à l'imaginaire et au fantasmatique, et c'est tant mieux, car ainsi l'on peut échapper à la banalité du quotidien. Les enquêtes de Mary Lester vont heureusement dans ce sens et c'est sans doute l'une des raisons qui nous font tant aimer cette série policière ! Very Happy
Pour revenir brièvement sur cette jeune fille rètive et qui, sûre de la protection de son père dans "Couleur Canari" se montre d'une arrogance peu commune à l'égard d'un officier de police en la personne de notre Mary ; avouez que la moindre des choses dans ce cas précis était que force reste à la loi ! Je ne pense pas pour ma part que dans la réalité, avec une attitude hostile à la police dans l'exercice de ses fonctions, l'on puisse facilement se prévaloir de tolérances de sa part... Sad J'ai même l'impression que parfois dans la réalité, ça peut être plus glauque, plus lourd de conséquences que dans la littérature ou l'imaginaire. Et en plus, parfois cela ne tient bien souvent qu'à fort peu de choses.
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Nanou75



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Messages: 26
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MessagePosté le: 09 Sep 2007, 17:57    Sujet du message: Pardon, Jean Failler ! Répondre en citant

Bonjour à tous,

J'ai honte, vraiment honte ... Mais j'assume, et vous fais l'aveu que je n'ai pas pu lire "la mort au bord de l'étang" ! Le milieu de la chasse ne me plaît pas, et, comme le disait l'un d'entre vous, ce roman n'est peut-être "pas assez breton". Au demeurant, bien écrit comme toujours. Mais je n'ai pas accroché, ce qui est la première fois depuis que je connais Jean Failler.
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Jean-Claude Colrat



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Localisation: Orléans

MessagePosté le: 09 Sep 2007, 18:40    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Nanou... car moi j'ai désormais un peu moins honte de n'avoir pas vraiment aimé ce roman puisque je ne suis plus le seul. Effectivement comme je l'avais écrit : peut-être pas assez breton, mais l'intrigue elle-même m'avais laissé quelque peu indifférent. Alors pardon aussi à Jean Failler mais on n'est pas obligé de tout aimer de manière inconditionnelle. Embarassed
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Nicolas Hellec
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Messages: 475

MessagePosté le: 26 Sep 2007, 20:49    Sujet du message: Répondre en citant

Il n'y a pas à avoir honte de ses goûts !
Personnellement, je n'aime pas non plus le milieu de la chasse, et ce roman aura presque failli réussit à me faire voir ce milieu différemment. Mais ça ne marchera sans doute pas avec tout le monde.
Or, ce roman repose surtout sur cette première partie racontant la journée de chasse. L'enquête a moins d'importance, je dirais. Donc forcément, si on n'a déjà pas apprécié la première partie...
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 03 Jan 2008, 18:56    Sujet du message: Répondre en citant

En ce début d'année je n'oublie pas les "chartasignopaginophiles" et je leur offre tout naturellement pour marque-page de ce roman n° 3 la photo du bord de l'étang...
Bon, j'ai triché un peu : ce n'est pas un étang breton, mais un étang de Sologne ! Mais on s'y croirais Wink
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Jean Failler



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MessagePosté le: 06 Jan 2008, 20:29    Sujet du message: Répondre en citant

À propos de chasse…
Lorsque j'étais plus jeune, j'ai beaucoup chassé avec Noël Roquevert (qui abandonnait volontiers les tournage lorsque la bécasse arrivait en Bretagne).
Noël, qui était dans la vie exactement comme au cinéma avait, au soir d'une belle partie de chasse, la larme à l'œil devant ses petites victimes qu'il caressait avec émotion en leur disant : "pauvres petites bêtes, pardonnez-moi, ce que je voudrais vous rendre la vie… pour vous retrouver dimanche prochain !"
Je dois avouer - avec contrition - avoir été un chasseur redoutable (surtout un tireur redoutable) mais, rapidement, je n'ai plus supporté de tuer…
Or, on ne peut pas chasser sans tuer. Votre chien ne vous le pardonnerait pas et ne lèverait plus une pièce de gibier.
Donc j'ai renoncé aux belles émotions de la quête avec la complicité du chien, de la perdrix en plaine, de la bécasse au sous bois.
Je chassai bien entendu selon la manière du vieux Boulois et non à la manière "Solognote" telle qu'elle est pratiquée actuellement.
Je n'ai jamais chassé à courre mais j'ai été parfois pris dans une de ces chasses aristocratiques et j'avoue que - lorsqu'on connaît les codes de la chasse - la musique d'une meute de chiens bien gorgés dans la cathédrale qu'est une forêt à l'automne, les sons de trompe annonçant le lancer le débucher ou l'hallali (hélas !) sont pour moi autant de musiques d'un somptueux opéra dans lequel le non initié ne verra que de la cruauté. (hélas aussi !)
Blâmez-moi si vous le voulez, si je n'ai pas touché un fusil depuis vingt ans, j'aime toujours le son du cor le soir au fond des bois.
Bien à vous,
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alain grandil



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MessagePosté le: 08 Jan 2008, 18:07    Sujet du message: Répondre en citant

Eh ben moi, la chasse, ça n'a jamais été mon truc. Je n'y suis jamais allé avec quiconque. Je l'ai sans doute déja dit ici, mais les chasseurs qu'il m'a été donné de connaître me sont apparus comme des gens peu intéressants et plutôt bizarres dans leur façon d'être. J'imagine que ce n'est pas une généralité puisqu'en définitive j'en ai peu connu, ayant il est vrai pris soin d'en éviter la plupart.
Je suis bien content d'apprendre, cher Jean Failler, que vous ayez remisé votre fusil et que vous étiez un chasseur plus proche du sympathique Boulois que des autres. Mais ça, je l'avais bien sûr deviné !
Quant à Noël Roquevert, je me souviens bien de cet acteur que je trouvais comique quand j'étais petit et que j'aimerais bien revoir aujourd'hui. Je me souviens qu'il vivait aussi à Douarnenez. Les rôles de colonel à la retraite lui allaient comme un gant !
C'est bizarre, mais lui non plus, je n'arrive pas bien à l'imaginer en chasseur, sauf peut-être pour chasser la belette à deux pattes...
Comme quoi on peut se tromper sur les gens et même si l'un n'empêche pas l'autre.
Je me demande si c'était une forme d'humour noir qui le poussait à s'apitoyer sur ses victimes à plumes, la larme à l'oeil, ou bien s'il était animé par une sacrée dose de cynisme, ce que je me refuse bien sûr à penser. Wink
Ah, ce Noël Roquevert, c'était quelqu'un !
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Jean Failler



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MessagePosté le: 09 Jan 2008, 18:35    Sujet du message: Autres considérations sur la chasse et la pêche. Répondre en citant

Je crois que Noël Roquevert était comme moi (ou plutôt, étant mon aîné, et de beaucoup, il serait plus juste de dire que j'étais comme lui). Il adorait la chasse, tout en déplorant que cette passion l'amenât à tuer.
C'est une position très ambigüe (certains diront hypocrite) que d'être chasseur et de ne pas aimer tuer. Il faut choisir : comme je l'ai dit, on ne peut pas chasser sans mise à mort. Sinon j'aurais substitué à mon calibre douze un objectif photographique et tout aurait été dit !
J'ai choisi et j'ai rangé le fusil.
Mais il se trouve que je suis également un bon pêcheur (en mer) et que je n'aime pas plus mettre à mort un bar ou une dorade qu'une bécasse ou un pigeon.
Bizarrement si l'on y songe bien, la mort d'un poisson trouble moins les âmes sensibles que celle d'un lapin ou d'un chevreuil. Pourtant le lapin ou le chevreuil qui reçoit le coup de fusil est - en général - tué sur le coup, tandis que le poisson, sur le pont du bateau agonise lentement, et dans l'indifférence générale, de la plus hideuse des morts : l'asphyxie.
L'avantage de la pêche sur la chasse est qu'on peut la pratiquer sans mise à mort. Il suffit de débarrasser l'hameçon de son ardillon et de remettre sa capture à l'eau. Ce que les Anglais appelle la technique du "No Kill".
Je connais peu de gens qui la pratiquent et souvent lorsque j'invite un copain à venir avec moi pêcher le bar au crépuscule, il est toujours surpris de me voir remettre à l'eau le troisième poisson, puis le quatrième, le cinquième etc… J'ai beau expliquer qu'en ayant un chacun (tué proprement dès qu'il vient à bord), je ne convainc pas.
Pas plus que ma devise en la matière : "Le plaisir de pêcher vaut mieux que ce qu'on pêche".
Les bars que je remets à l'eau, qui sait si je ne serais pas heureux de les retrouver lors d'une prochaine marée ?
J'espère ne pas vous lasser avec mes considérations sur la chasse et la pêche. Un fossé d'incompréhension se creuse de plus en plus entre les rats des villes et ceux des champs (et de la mer). C'est dû au mode de vie, certainement.
Le poulet surgelé de votre hypermarché (qui n'aura pas connu un instant de liberté entre sa naissance et sa mort) a - à mon sens - un sort bien moins enviable que lcelui du pigeon sauvage tiré au vol… et un goût infiniment moins délectable. (Et je ne vous parle pas du gavage des oies !)
Ce que les yeux ne voient pas, le cœur ne le sent pas, dit un proverbe espagnol. À preuve, on n'a jamais vendu autant de foie gras qu'en décembre.
Bonne année à tous !
J. Failler
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Auteur des enquêtes de Mary Lester
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alain grandil



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MessagePosté le: 09 Jan 2008, 21:51    Sujet du message: Répondre en citant

Tout cela est bien vrai et il faut se résoudre à accepter d'être un jour le prédateur qui sommeille en nous par nécessité.
Le sort des poissons pêchés n'est effectivement pas plus enviable à celui du gibier de poil ou de plume abattu, et je ne parlerais pas, moi non plus, des poulets de batterie ou des oies gavées. Sans compter qu'il y aurait encore tant à dire sur le sort des animaux maltraités...
Non, c'est juste que, n'étant pas chasseur, il se trouve que je ne suis pas pêcheur non plus...
Je dois avouer que si j'avais du vivre à l'aube de l'humanité, je serais probablement mort de faim, encore que souvent la fin justifie les moyens ! A moins que je ne soies devenu végétarien ?
C'est sans doute la chasse ou la pêche "loisirs" qui ne me conviennent guère. En tous cas, si notre mode de vie doit nous trahir, nous ne pouvons que difficilement y échapper.
C'est probablement une bonne raison pour comprendre ce qui anime notre prochain.
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Jean-Claude Colrat



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MessagePosté le: 09 Jan 2008, 22:22    Sujet du message: Répondre en citant

Qui a dit : « il y aurait moins de pêcheurs si les poissons avaient le pouvoir de crier ! » ? ou quelque chose d’approchant : je ne retrouve ni la citation ni l’auteur… Crying or Very sad

En ce qui me concerne j’ai été pêcheur (avec un accent circonflexe) lorsque j’étais gamin, et n’ai jamais été chasseur. La mort des animaux n’est pas non plus mon truc … et pourtant… (je sens que je vais me faire des ennemis !) je suis aficionado! Embarassed Or quoi de plus sanguinaire et de moins excusable que la corrida ? Comme quoi l’âme humaine est complexe. Mais nous voilà loin de la Bretagne…
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alain grandil



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Localisation: entre Metz et Luxembourg

MessagePosté le: 09 Jan 2008, 23:17    Sujet du message: Répondre en citant

Loins de la Bretagne, sans doute, mon cher Jean Claude,
Mais certainement de plus en plus près les uns des autres ! Et c'est ce qui importe le plus, finalement, même si l'on n'oublie pas qui nous rapproche en priorité sur ce forum.
Encore une fois, je suis navré, mais la corrida n'est pas mon truc non plus !
Mais alors, allez-vous vous demander, à quoi peut bien s'intéresser Alain ?
Eh bien à plein de choses, comme sans doute la plupart d'entre-vous.
Moi aussi je me passionne pour des trucs incroyables et souvent paradoxaux : ainsi, n'étant ni chasseur ni belliqueux, je m'intéresse aux armes de poing, aux navires de guerre, aux chasseurs à hélice ou à réaction...
C'est assez incroyable, finalement.
Pourtant, ce qui me passionne le plus, ce sont les autos de compétitions, les sportives, avec une prédilection pour les anciennes des années 60-70 etc... Et là, c'est un vaste sujet sans distinction de région ou de pays.
Est-ce bien raisonnable ?
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