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Boucaille sur Douarnenez (6)

 
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 27 Mar 2005, 22:36    Sujet du message: Boucaille sur Douarnenez (6) Répondre en citant



Chacun peut donner ici son avis sur le roman numéro 6 de la collection Mary Lester : Boucaille sur Douarnenez
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 17 Sep 2006, 21:10    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai terminé de relire cette enquête, et même si je l'ai sans doute plus apprécié que la fois précédente, j'en suis ressorti avec ce même sentiment de déception.
L'intrigue policière a vraiment été laissé de côté au profit de la description de cette fête du Mardi Gras à Douarnenez, et de cette intrigue secondaire à propos des personnes déguisées en morts. Du coup, l'enquête est vraiment réduite ici au stricte minimum et l'auteur la fait trainer pour pouvoir parler du reste.

Dommage.
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
Messages: 892
Localisation: entre Metz et Luxembourg

MessagePosté le: 17 Jan 2007, 21:39    Sujet du message: Répondre en citant

Après un petit chef d’œuvre comme « Le Manoir Ecarlate », je conçois qu’il était difficile de faire mieux, voire aussi bien derechef. J’ai terminé moi aussi tout récemment cette enquête (je dois l’avouer, presque avec soulagement) qui m’a laissé un inhabituel sentiment de déception. C’est bien la première fois que je reste sur ma faim avec un volume de la collection des « Mary Lester ». Jusqu’alors, je dévorais littéralement les différents volumes avec une voracité et une impatience toujours croissante. Je n’ai pas rencontré le même enthousiasme cette fois-ci pour cette histoire faisant partie de la petite dizaine d’enquêtes que je n’avais pas encore lues. Dommage, comme l’exprime Nicolas, que la fête du Mardi Gras à Douarnenez ait tout englué. Du meurtre involontaire par cryogénisation de 4 pauvres vieux qui chantaient trop fort à deux tentatives de viol par une bande d’improbables sur la personne de Mary, on ne sait plus trop bien ou l’on va. (Mary elle même est déguisée pour l’arrestation des malfrats et dans tous les sens du terme, on ne la reconnaît pas). Quant à ce pauvre Irlandais, assassin malgré lui mais aussi épris de justice, on ne gardera de lui que le souvenir d’un pitoyable martyr. Malgré les descriptions louables de la fête et de son cadre, malgré certains personnages pittoresques de la localité, fort bien mis en scène, (qu’ils soient de la police ou non), on demeure tout au long de ce récit à la recherche d’un fil conducteur qui s’avère introuvable. Mais bon, à la décharge de l’auteur, même le premier de la classe ne saurait avoir toujours les meilleures notes !
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 21 Jan 2007, 00:07    Sujet du message: Répondre en citant

Tu me vois rassuré à la lecture de ton avis, car quand j'avais fait part de ma déception à la relecture de cette enquête, comme la première fois, à Jean Failler, celui-ci m'avait dit que beaucoup avaient apprécié la description de la fête des Gras et les personnages typiquement Douarnenistes qu'on rencontre dans cette enquête.

Jean Failler a vécu une partie de son enfance à Douarnenez, et a connu cette fête. Il pouvait donc très bien la décrire.

Soit, mais comme toi j'ai eut du mal à trouver le fil conducteur dans tout ça (tu as trouvé les mots qui expriment les sentiments que j'ai eut à la lecture de cette enquête), ce qui fait que cette enquête fait partie de celles que j'aime le moins.

Mais bon, après cinq coups réussis, ce n'est pas bien méchant.
Et puis si certains ont apprécié cette enquête autant que les autres, tant mieux pour eux. Il en faut pour tous les gouts.
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 21 Jan 2007, 19:37    Sujet du message: Répondre en citant

Je vous trouve bien sévères avec ce roman Crying or Very sad
Mais "qui aime bien châtie bien" et "il en faut pour tous les goûts" Laughing
Même si ce n'est pas le chef d'oeuvre de la série, j'ai bien aimé l'atmosphère festive et les descriptions des lieux et des personnages. Et pour une fois que Mary tombe sur un commissaire sympa !
Pour l'aspect plus purement "polar" c'est vrai qu'on a vu mieux. Je serais d'ailleurs intéressé sur un point: savoir comment est venue l'idée à Jean Failler de la mort par cryogénisation, y a-t-il eu déjà un fait divers réel de ce genre Question
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amicalement à toutes et à tous. JCC
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
Messages: 892
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MessagePosté le: 21 Jan 2007, 21:16    Sujet du message: Répondre en citant

C’est vrai que pour une fois, Mary tombe sur un commissaire super sympa, ce qui n’a pas toujours été le cas, loin s’en faut ! Il y a aussi cet inspecteur de police dont j’ai oublié le nom, pêcheur et fumeur de pipe, qui apporte beaucoup au déroulement de l’histoire et donne une dimension assez philosophique à l’affaire, concernant la façon de voir les choses et les êtres (un peu comme Moisan dans « Marée Blanche »). Les lieux et l’atmosphère festive de Douarnenez pendant la période des Gras est fort bien décrite, tout comme la façon d’être des douarnenistes et de leur « accent ». Tout cela est indéniable et dénote d’un réel talent de la part de l’auteur qui, je ne le savais pas, a passé une partie de sa jeunesse à Douarnenez. Gageons qu’il sait fort bien de quoi il parle ! -Le passage qui raconte une tranche de vie de cette femme piégeant son mari déguisé en mandarin dans une édition largement précédente de ce Carnaval est réellement savoureuse ! -
Pour ce qui est de la cryogénisation je me souviens avoir lu il y a des années une bande dessinée policière qui parlait de tentatives d’éliminations de personnes par ce moyen. Je vais essayer de faire des recherches… (sans garantie).
Sévère avec ce roman, sans doute, en ce qui me concerne. Mais par ailleurs si enthousiaste pour bien d’autres que je me sens plutôt bon critique. Et puis comme tu l’as dis, Jean Claude, ainsi que Nicolas, il en faut pour tous les goûts, ce roman ayant d’après Jean Failler plutôt bien plu en général. Comme disait Lionel à un moment, autant de lectures, autant de lecteurs.
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Lionel



Inscrit le: 28 Nov 2006
Messages: 818

MessagePosté le: 21 Jan 2007, 22:01    Sujet du message: Répondre en citant

Je crois que tous ceux qui ont utilisé de la Carboglace ont eu l'imagination titillée par les usages (détournés) possibles de ce matériau réfrigérant assez répandu dans certaines professions.

Jean Failler a du en utiliser dans se profession (je crois qu'il a été mareyeur).

J'en ai également utilisé dans mon (ex) métier de chimiste.

Je vous cite deux liens à ce propos :
Un site qui a plus un rapport avec la choucroute (mais les renseignements sur la glace carbonique, son efficacité et ses dangers y sont tout-à- fait pertinents)
La page Wikipedia sur la glace carbonique

Pour résumer (je vous épargne le calcul mais faites-moi confiance), sachant que O'Malley a utilisé dix pains de carboglace, soit 100kg et que la masse moléculaire du CO2 est de 44.01, la sublimation (passage direct de l'état solide à l'état gazeux) de cette quantité a dégagé environ 100.000*0.0224/44.01=env. 50 m3 de ce gaz plus lourd que l'air dans une cagna de 20 m2 et qui plus est complètement calfeutrée.
Je n'ai pas fait le calcul des frigories dégagées (ça, c'était mon métier précédent) mais en effet 100 kg, "ça devait le faire" !
Alors, mortes de froid ou asphyxiées, les victimes n'avaient aucune chance de toute façon.

Allez, pour me faire pardonner les chiffres, je vous raconte mes facéties avec la Carboglace :
Dans le labo d'analyses pétrolières où je bossais, la Carboglace nous était livrée dans des cartons (eh oui, c'est isolant le carton ondulé, les SDF le savent bien Sad ) en "pellets" (voir premier lien cité).
Ces pastilles, nous les utilisions pour refroidir les "pièges" des pompes à vide, afin d'éviter les entrainements d'hydrocarbures volatils dans celles-ci, ou pour atteindre des températures suffisamment basses pour mesurer la tenue au grand froid du kérosène (mieux vaut le vérifier au labo que grandeur nature à 11000 m d'altitude, non ?)
Mais d'en mettre quelques-unes dans le seau d'eau chaude des "techniciennes de surface", la plaisanterie était assez anodine quoique spectaculaire (et les plaisanteries les meilleures ..... etc..)
J'en ai ramené une fois à la maison quelques unes dans une bouteille thermos (NON BOUCHEE), après un quart de nuit, et juste avant le petit déj' familial, j'en ai mis une pastille dans un gant (type chirurgical) en latex (noué ensuite, évidemment), sur la table.
Lorsque le CO2 s'est sublimé, le gant a commencé à gonfler tout seul, sous les cris excités et faussement effrayés de mes chérubins.

Blague à part, c'est un matériau fort utile, mais dont il ne faut pas négliger les précautions d'emploi.
Ce scénario est donc hélas crédible, même s'il n'a peut-être jamais été utilisé à des fins criminelles dans la réalité.
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GeorgesS



Inscrit le: 14 Sep 2005
Messages: 359
Localisation: 06700 St Laurent du Var

MessagePosté le: 12 Déc 2007, 14:16    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,
Pour ceux qui voudraient retrouver (peut-être) le commissaire Colin, les "Gras" se dérouleront du 02 au 06 février 2008.
Plus d'infos sur www.pennsardin.com/gras/gras.htm (source "Bretagne Magazine n°40")
Amicalement,
Georges
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 25 Oct 2008, 23:51    Sujet du message: Répondre en citant

Bravo à Bibifri pour son calcul sur le CO2. En tant que chimiste, moi aussi j'ai pas mal manipulé de la neige carbonique, mais pas seulement à des fins scientifiques, en en mettant par exemple dans les grosses gamelles de bouffe de restau U, avec du cassoulet par exemple, c'est très spectaculaire; ça fait bloup!bloup, quand ça s'évapore, ça fait peur à tout le monde et après on dit que les chimistes ont empoisonné la bouffe. Erreur! puisque le CO2 s'est évaporé, on n'a rien empoisonné du tout. Mais comme la nourriture du restau U est tellement "degueu" à la base, on peut croire qu'elle est empoisonnée, effectivement.
Mais je m'égare dans mes blagues de potache.
Moi j'ai beaucoup aimé ce livre. Peut-être suis-je beaucoup plus sensible à l'ambiance qu'aux gros crimes affreux.
Ici, j'ai particulièrement aimé la partie de pêche avec Le Meunier.
Et puis, le récit est émaillé d'un tas de petites remarques assez piquantes, comme :
"A chaque réponse de Mary, la vieille dame hochait la tête mécaniquement, comme ces Jésus en plâtre dans les crèches de Noël quand on met un sou dans leur hotte."
ou bien :
"Tante Nadette avait transvasé le café d’une haute cafetière émaillée dans une casserole et elle s’escrimait avec un allume-gaz qui ne produisait plus guère d’étincelles.
– Gast, protesta-t-elle, celui-ci ne va plus d’aucun bord !
"
"– Et puis, ça ne tient pas, poursuivit Mary, s’il y avait eu comme tu le dis des émanations d’oxyde de carbone, elles n’auraient pas attendu un mois pour se manifester. Depuis longtemps les quatre protestants auraient ressenti des malaises.
– Et ils auraient protesté ! dit le chauffeur avec un rire épais
."
Etc...
La personnalité de Madame Perchec est tellement pittoresque qu'elle en est émouvante.
Et il y a toutes ces remarques sur les Douarnenistes et leur accent que j'ai particulièrement appréciées, même si je suis du nord ( Finistère)!
Enfin, tout ceci n'est que mon humble avis....
Et pour finir, il y a quand même quelque chose de commun à tous les romans : quand je commence à lire un Mary Lester, quel qu'il soit, j'ai beaucoup de mal à le lâcher. Celui-ci n'a pas fait exception, même à la relecture.
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 26 Oct 2008, 09:48    Sujet du message: Répondre en citant

Moi aussi, Anne, j'ai beaucoup aimé ce livre. L'ambiance et les personnages y sont particulièrement bien décrits, comme dans d'autres romans de la série d'ailleurs... Very Happy
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Jean Failler



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Messages: 264
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MessagePosté le: 28 Nov 2008, 20:20    Sujet du message: Répondre en citant

Ce fait divers (deux couples de vieilles personnes retrouvées mortes dans une soupente) a réellement existé.
En son temps (dans les années 80) le fait divers relaté dans le journal m'avait interpellé. Ensuite, plus rien.
Je dus aller à Douarnenez rencontrer le journaliste qui l'avait rapporté à pour connaître la suite. Or, il n'y avait pas de suite. Le légiste avait conclu à des morts naturelles.
Je ne m'en tins pas là, je poursuivis mon enquête. Le légiste, qui était à la retraite, (j'enquêtais quelque quinze ans plus tard !) voulut bien me recevoir. Il se souvenait fort bien de cette histoire pour le moins insolite et voulut bien éclairer ma lanterne.
C'était bien une question de pratique religieuse qui avait amené ces vieilles personnes à Douarnenez. C'était bien des raisons d'économie qui les contraignaient à se loger dans une soupente peu confortable.
Mais en fait ces personnes s'étaient en quelque sorte "autoaxphyxiées"
Comme la soupente était glaciale, elles en avaient calfeutré le moindre orifice avec du papier journal. Comme souvent les personnes âgées, elles prenaient un somnifère avant de se coucher.
Il y avait, m'assura le légiste, un trop petit volume d'air non renouvelé pour que quatre personnes puissent avoir leur content d'oxygène toute une nuit. Elles étaient donc passées de vie à trépas tout doucettement dans leur sommeil.
Pour les besoins de l'enquête je transformai ce manque d'oxygène par une cryogénisation criminelle.
Car, sans crime, comment écrire un roman policier ?
J'ajoute, pour rétablir l'équilibre entre ceux qui aiment et ceux qui aiment moins, que pendant longtemps ce roman a été le plus vendu de la série.
C'est également un de ceux qui m'a valu le courrier le plus volumineux (et pas seulement à cause de la "dépravation" de Mary Lester) de lecteurs tout à fait satisfaits. (en tout cas infiniment plus nombreux que ceux que m'a valu Roulette Russe pourtant placée en tête dans ce forum).
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Auteur des enquêtes de Mary Lester
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Jean-Claude Colrat



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Messages: 552
Localisation: Orléans

MessagePosté le: 28 Nov 2008, 23:07    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Jean pour cette nouvelle anecdote... Very Happy

J'ai beaucoup aimé ce roman, je l'ai déjà dit. Et j'aurai bien vu Jacques Fontaine continuer à partager sa vie avec Mary... je l'ai déjà dit aussi. Bon à peine retraité, je radote ! Wink
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Anne Boëlle



Inscrit le: 14 Oct 2008
Messages: 365

MessagePosté le: 03 Déc 2008, 20:49    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Jean!
Jean-Claude Colrat a écrit:
Et j'aurai bien vu Jacques Fontaine continuer à partager sa vie avec Mary...

Je l'aimais bien aussi ce Jacques Fontaine. Sauf qu'à l'époque, je ne le voyais pas finir sa vie avec Mary.
Quand j'ai fini le livre, je me suis dit : sur le plan privé, Mary risque de faire un peu comme les marins avec les femmes : un homme dans chaque roman ou presque!
J'ai honte! Embarassed Embarassed Embarassed
Enfin, un tout petit peu seulement! Wink
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