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Les commissaires
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Jean-Claude Colrat



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Localisation: Orléans

MessagePosté le: 25 Avr 2007, 17:43    Sujet du message: Les commissaires Répondre en citant

J’ai pensé que les différents commissaires de police paraissant dans les aventures de Mary Lester pourraient faire l’objet d’un sujet du forum.

Mary Lester étant un lieutenant puis capitaine de police « non sédentaire », se déplaçant dans toute la Bretagne au gré des enquêtes, a l’occasion d’avoir plusieurs patrons selon les commissariats auprès desquels elle est détachée.

Bien sûr elle continue de considérer qu’elle n’a qu’un seul « patron », le commissaire Lucien Fabien qui dirige le commissariat de Quimper. C’est pour Mary un peu un second père, voire le père qu’elle aurait aimé avoir car Jean-Marie Le Ster est assez distant tant géographiquement qu’affectivement… Vice versa, Mary est pour le commissaire Fabien la fille qu’il aurait aimé avoir…

Quant aux autres commissaires, les relations qu’ils ont avec Mary sont la plupart du temps assez difficiles… D’une part, un peu de misogynie face à ce lieutenant – puis capitaine – jeune et avenante, d’autre part les méthodes il faut le dire un peu particulières de Mary qui dérangent leur routine.

Un point leur semble commun : le caractère « vieille France » de leurs caractères et de leur apparence physique et vestimentaire.

Dans le dernier opus (Le passager de la Toussaint, n° 29) le commissaire Balanec ne déroge pas à la règle des relations tendues avec Mary. A noter qu’un Balanec était déjà apparu furtivement dans Le manoir écarlate (n° 5), comme adjoint du commissaire Allain, envoyé de Rennes en renfort avec ses CRS, qui le surnomme « banane ». Est-ce le même homme qui a eu une promotion à Brest ? Seul l’auteur le sait… !
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alain grandil



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MessagePosté le: 28 Avr 2007, 14:18    Sujet du message: Répondre en citant

Excellent sujet de discussion et de débat, Jean Claude ! Effectivement, le commissaire Fabien, malgré son aspect "vieille France", a ce côté paternaliste que quelque-part Mary doit apprécier chez lui. Souvent, les différents commissaires auxquels Mary a eu affaire au cours de ses nombreux déplacements ont eu généralement, comme tu le décris si bien, ce même aspect un peu désuet et hors norme, avec la sympathie et la figure rassurante de ce bon Fabien en moins. (et je ne parle pas de la règle en bois et du sous-mains en buvard vert sur le bureau !) Il y a certainement cette notion "absence du père" que psychologiquement on peut ressentir dans les relations entre Mary Lester et Lucien Fabien... Et pourtant, ce dernier n'a toujours pas trouvé le moyen de contourner l'autorité tutélaire de son épouse pour inviter Mary à déjeuner au Moulin de Rosmadec !
De nombreux commissaires ont en effet émaillé les enquêtes de Mary. De mémoire, je citerais Mervent, Allain et Braissac. Mais il y en a eu d'autres et ce serait sympa de les mettre un peu au pilori ici, sur ce site !
En ce moment, je lis "La cité des Dogues" ; un excellent roman ! Il y a dans celui-ci -dont l'action se situe à Saint-Malo- un commissaire Rocca qui n'est pas triste non plus. Sous un aspect à la fois guindé et distingué, avec ses manières de chef de bureau dans l'administration, à cheval sur les horaires, comme sur le fond et la forme, se cache l'archétype du despote et du pédant congénital. N'ayant pas encore terminé le livre, je dirais même d'ores et déjà qu'il y a en lui tout du parfait salopard. Il serait coupable ou complice dans cette affaire, qu'arrivé aux trois quarts de ma lecture, je n'en serais pas vraiment étonné. A bientôt pour d'autres portraits de ces charmants commissaires !
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Nanou75



Inscrit le: 12 Nov 2006
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MessagePosté le: 02 Mai 2007, 21:42    Sujet du message: la cité des dogues Répondre en citant

Bonsoir,
Aujourdhui, Alain Grandil, vous avez peut-être terminé "la cité des dogues" ? Qu'en avez-vous pensé?
Pour ma part, j'ai adoré, car j'ai trouvé le sujet et le dénouement fort originaux, et d'autre part, fana de Saint-Malo (où est venu Jean Failler en septembre 2006), je me sentais bien en lisant ce roman...
Cordialement,

Anne
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Nicolas Hellec
Administrateur


Inscrit le: 27 Mar 2005
Messages: 475

MessagePosté le: 02 Mai 2007, 23:36    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai bien aimé relire les premiers romans de la collection et redécouvrir les premières collaborations de Mary et Fabien.
Vous rappelez-vous ? A son arrivée à Quimper, le commissaire Fabien est en vacances (Les diamants de l'Archiduc (2)) et ce n'est que dans La mort au bord de l'étang (3) que Fabien et Mary font la connaissance l'un de l'autre. Et il faut dire qu'au premier abord, Fabien s'est un peu demandé ce qu'on lui avait emmené là.

Par la suite, comme dès le roman suivant Mary est envoyé à l'extérieur, Fabien peut donc se rendre compte de ses méthodes toujours originales sans être directement concerné par celles-ci.

C'est assez sympa de redécouvrir ces débuts.

Pour le reste, c'est vrai que beaucoup des commissaires sous les ordres de qui Mary a travaillé avaient ce côté "vieille France". Beaucoup d'ailleurs sont plus en attente de la retraite qu'autre chose.
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alain grandil



Inscrit le: 09 Sep 2006
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MessagePosté le: 10 Mai 2007, 16:12    Sujet du message: Répondre en citant

Comme vous pourrez le constater, Anne, j'ai beaucoup aimé moi aussi, "La cité des dogues" Very Happy (J'ai essayé d'en parler dans la rubrique "romans" aujourd'hui...) Ce n'était pas facile, car l'affaire n'est pas simple et le dénouement inattendu ! Restent cette belle description de la cité Malouine et de ses environs, cette enquête trépidante et passionnante d'un bout à l'autre, mais aussi ce sentiment négatif vis à vis du commissaire Rocca que j'ai eu du mal à encaisser. Confused Heureusement, Jipi et le commissaire Fabien viennent à point nommé sauver et remonter le moral de notre Mary blessée par de furieux molosses !
Pour répondre à Nicolas, c'est vrai que se replonger dans les toutes premières affaires de Mary doit être passionnant, car je ne me souviens plus très bien des premiers contacts de Mary avec le commissaire Fabien. Une relecture de l'incontournable "Mort au bord de l'étang" s'impose donc !
Pour terminer, je dirais qu'au niveau du commissaire Rocca, je lui réserve un sacré chien de ma chienne à celui-là ! Laughing
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
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MessagePosté le: 22 Nov 2008, 18:01    Sujet du message: Répondre en citant

A propos du commissaire Fabien j'ai relevé, en pinaillant encore une fois, un élément bizarre... Crying or Very sad
Vous avez glosé par ailleurs, chers amis foromeurs, sur les changements de pointures du lieutenant Fortin... Eh bien ce bon Lucien Fabien semble, quant à lui, avoir changé de pointure de... gants ! Lorsqu'elle fait sa connaissance dans La mort au bord de l'étang, Mary serre une "main épaisse". Mais dans Sans verser de larmes, elle serre une "petite main ferme". Bon, ce cher commissaire a été malade entre temps... Wink
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GeorgesS



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MessagePosté le: 22 Nov 2008, 21:49    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai bien rigolé à la lecture de ton joli mot J.Claude !
Comme quoi, je ne suis plus le seul à "pinailler".
Sans prétention et surtout avec beaucoup de respect pour les écrits de Jean.
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alain grandil



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MessagePosté le: 22 Nov 2008, 22:05    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, c'est vrai, Jean Claude. J'ai moi aussi le souvenir d'un commissaire Fabien costaud dans les premiers romans, puis celui, assez étonnant, d'un petit bonhomme dont seule l'autorité fait... autorité.
Au fur et à mesure que Jipi prenait de l'assurance et du muscle, Fabien prenait de l'âge, des soucis de santé et une moindre "carrure".
Il faut croire que les personnages périphériques évoluent eux aussi, à mesure que leur histoire s'écrit.
Il y a tout de même une constante chez le commissaire Fabien, c'est son attitude bienveillante envers Mary qui est vraiment sa protégée, tant il est subjugué par sa personnalité et, il faut bien le dire, ses résultats.
Par ailleurs, j'ai remarqué moi aussi quelques inconstances dans la culture générale du personnage. Tantôt il apparait pragmatique et peu au fait des choses de l'esprit ; tantôt il se pose en bienveillant intellectuel, capable d'en remontrer à notre héroïne. Ce n'est qu'une impression, je n'ai pas d'exemple à proposer. Donc, mea-culpa si je me trompe. Mais, comme je l'ai dit, les personnages évoluent au cours du déroulement de leurs aventures et pérégrinations. C'est humain à plus d'un titre, et notamment du point de vue de l'auteur qui d'instinct tend à peaufiner la personnalité de ses personnages. C'est mon avis, et je le partage, pour paraphraser les "Dupondt" dans les aventures de Tintin.
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Jean-Claude Colrat



Inscrit le: 10 Sep 2006
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MessagePosté le: 22 Nov 2008, 22:20    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis entièrement d'accord avec toi, Alain.
Un auteur ne peut pas, sur la durée, avoir une constance telle que son personnage soit toujours "le même" ; selon l'humeur du moment de son "papa", le dit personnage évolue dans un sens ou dans un autre, à un "caractère" différent, une "culture" aussi...
C'est la même chose en dessin ou peinture : refaire 4 ou 5 fois le même thème à des moments forcément différents aboutir à obtenir 4 ou 5 dessins ou peintures différents.
D'ailleurs dans les séries de BD on voit bien aussi l'évolution des dessins des personnages. Puisque tu cites Tintin, on voit bien l'évolution de celui-ci entre son voyage au pays des Soviets et chez les Picaros !!!
C'est l'inverse qui serait inquiétant pour l'auteur...
Cela dit, nos petites remarques sont là pour alimenter notre cher forum et nous faire sourire (ou "bien rigoler" comme Georges Wink ). Cela ne remet pas en question la valeur de l'oeuvre Laughing Jean l'avait bien compris Razz
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alain grandil



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MessagePosté le: 24 Nov 2008, 23:16    Sujet du message: Répondre en citant

Juste un mot pour dire qu'il y a eu, dans les aventures de Mary Lester, bien d'autres commissaires que Lucien Fabien. Et disons-le, la plupart n'étaient pas des exemples, ni pour leurs subordonnés, ni pour la police en général. Encore moins pour le citoyen lambda qui ne souhaite pas avoir d'histoires avec la police ni avec qui que ce soit.
Je pense que la rubrique est intéressante et, désolé de ne pas montrer l'exemple dès ce soir, mais une revue de tous ces gaillards aux aspirations et aux méthodes si différentes, me semble opportune. La rubrique mérite donc, à mon humble avis d'être développée. Je vais essayer de m'y coller. Mais je sais que bien avant que je n'aie dressé le moindre portrait de l'un de ces émerveillables fonctionnaires, vous allez en parler vous aussi et animer la rubrique. Vos souvenirs de lecture vont certainement réveiller plus d'une anecdote. Je vais tâcher d'en trouver moi aussi...
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Anne Boëlle



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MessagePosté le: 25 Nov 2008, 01:07    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a le commissaire Rocca, pas vraiment sympathique. Il "officie" dans la cité des Dogues.
"Coco" ainsi surnommé par ses employés.
Un quadra chicos, strict dans sa tenue, avec ses ongles manucurés, sa coiffure impec, son noeud de cravate encore plus impec, strict aussi avec le règlement intérieur, du commisariat, j'entends. Car il est beaucoup moins strict avec sa conduite intérieure : il est marié, il a 4 enfants et ... une maîtresse!
Il va à l'église tous les dimanches à onze heures. Quitte à choquer, je dirais que c'est normal, vu qu'il a beaucoup de choses à se faire pardonner. Et puis, ce sont les malades qui vont chez le médecin, pas les gens bien portants.

Je cite tout cela de mémoire car il y a longtemps que j'ai lu le livre. En ce moment, avec ceux que je relis, je fréquente plutôt les gendarmes.

Physiquement, j'imagine Coco un peu comme ça :

avec les intonations de la voix d'Adriano Celentano. Pour ce dernier, évidemment, son costume, sa cravate n'ont pas grand chose à voir avec celles de Rocca Exclamation , c'est peut-être pour ça qu'entre les deux, je préfère Adriano :
http://www.youtube.com/watch?v=MhRQCMoNf1c

En fait, je préfère le genre "Jean-Marie Le Ster". Quand le vernis est aussi brillant que celui de Coco, il ternit vite parce que la sous-couche est souvent inexistante. Avec Jean-Marie, il ne doit pas avoir du tout de vernis. L'homme est accessible. Et du répondant, il doit y en avoir!
Enfin à chacune son goût! Wink

Question anecdote, je n'en ai aucune à citer, il faudrait que je relise le livre.
J'attends ta revue, Alain! Very Happy

PS : je relis mon message : je délire total ce soir! Le dommage est que ça n'est pas accidentel!
Re PS : c'est quand même mieux quand Jean-Claude nous "croque" des portraits!
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Jean-Claude Colrat



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MessagePosté le: 25 Nov 2008, 10:03    Sujet du message: Répondre en citant

Oh là là ! Je le trouve un peu trop "beau" et un peu jeune ton Rocca...
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Anne Boëlle



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MessagePosté le: 25 Nov 2008, 10:14    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, tu as raison Jean-Claude. Maintenant, je m'en rends compte. J'ai eu un coup de fatigue hier soir. Mais fouiller internet pour trouver une photo qui convienne, ça va prendre du temps. Je ne sais pas dessiner, hélas! Crying or Very sad

Dernière édition par Anne Boëlle le 25 Nov 2008, 10:17; édité 1 fois
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Jean-Claude Colrat



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MessagePosté le: 25 Nov 2008, 10:17    Sujet du message: Répondre en citant

(allons bon ! Anne est en ligne en même temps que moi... ça va devenir un "chat" !)

Voici une première approche de liste des commissaires. Ces portraits méritent d’être affinés…

Dumont. – Commissaire principal à Concarneau. Par manque d’effectif, il fait appel au renfort de Mary Lester pour enquêter sur la mort de Lucien Le Berre, dit Tibère (Marée blanche, n° 4). Après avoir accueilli cette jeune fille avec un peu d’ironie, il laisse avec une relative confiance Mary mener son enquête et organiser la scène finale de l’arrestation des trafiquants belges.

Allain. – Commissaire divisionnaire du SRPJ de Rennes, envoyé au domaine de Trévarez après les meurtres de François Toullec et Leamond de La Rivière à la tête d’une compagnie de CRS (Le Manoir écarlate, n° 5). Ses méthodes musclées sont peu en phase avec celles de Mary Lester qu’il tient pour quantité négligeable.

Colin (Jean-Louis). – Commissaire, Douarnenez (Boucaille sur Douarnenez, n° 6). Il se montre très paternaliste avec Mary Lester, et semble plus intéressé par l’organisation du Mardi-gras que par sa carrière finissante de policier. Pourtant, déguisé au sein du cortège des « Gras », il veille au grain !

Graissac (Roger). – Commissaire à Nantes, il fait venir Mary Lester pour enquêter sur un soupçon de trafic de drogue au golf du Bois-Joli à La Baule. Aimable et distingué, il est l’un des rares commissaires avec qui Mary Lester n’a pas – ou peu – de conflit (L’Homme aux doigts bleus, n° 7).

Rocca. – Commissaire de Saint-Malo (La Cité des dogues, n°Cool. Il n’admet pas que Mary Lester ait été appelée à enquêter sur la mort de Simone Roch – que, lui, estime de cause naturelle – à la demande expresse du ministre de l’Intérieur sur intervention de Maître Roch. Il ne cesse de s’opposer à Mary. Il a une relation adultérine avec une commerçante en lingerie de Saint-Servan et, pour se venger, Mary le titille en lui parlant d’un « satyre » qui sévirait dans ce quartier.

Fréchet. – Commissaire divisionnaire, Saint-Nazaire. Maniaque de l’horaire, il ne s’accorde guère avec les fantaisies de Mary Lester venue enquêter sur une mort, celle du juge Ménaudoux, qu’il souhaitait classer rapidement en mort naturel ou crime de rôdeur (Brume sous le grand pont, n° 10).
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Nicolas Hellec
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MessagePosté le: 25 Nov 2008, 10:51    Sujet du message: Répondre en citant

Concernant Fabien, effectivement, il a pu changer, mais c'est aussi la vision que Mary a de lui qui a pu changer un peu. Sa main n'a peut-être pas tant maigri que ça, pas plus que lui de manière générale, mais peut-être Mary, en le voyant un tout petit peu amaigri, le vois bien plus maigre qu'il ne l'est, car elle l'a connu plus costaud.
Personnellement, je l'ai toujours vu un peu comme Jean Failler lui-même (dont Mary est la petite protégée également Wink), donc je ne l'ai jamais vu gros.
Jean-Claude Colrat a écrit:
(allons bon ! Anne est en ligne en même temps que moi... ça va devenir un "chat" !)

Vu comme vos messages sont complets et détaillés, on est bien loin d'un chat Very Happy
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